L’abbaye sommeillait depuis plus de 150 ans… Allait-elle disparaître définitivement ?
À cette question, deux amis ont répondu : « Non ! » et se sont dit : « Demain on attaque le chantier ! » Très vite, ils fédèrent une armée de bénévoles.
L’abbaye sommeillait depuis plus de 150 ans… Allait-elle disparaître définitivement ?
À cette question, deux amis ont répondu : « Non ! » et se sont dit : « Demain on attaque le chantier ! » Très vite, ils fédèrent une armée de bénévoles.
La belle endormie est enfin réveillée ! Cet élan initial, si prometteur, trouve très vite une récompense méritée, en 1988, par la remise du second prix des « Chefs-d’œuvre en péril », effectuée par le ministre de la Culture Jack Lang.
Cette dynamique est-elle suffisante ?
En 1989, l’étude de faisabilité réalisée par Charles Perrot, architecte en chef des Monuments historiques, permet de programmer un vaste chantier de restauration.
Ce ne sont pas moins de 3,5 millions d’euros de travaux effectués par l’association, grâce à des fonds croisés (Communes, Département, Région, État, Europe, fonds propres, …).
Aujourd’hui, le projet s’inscrit dans la continuité des valeurs portées par l’association depuis de nombreuses années : solidarité, engagement, partage, diversité artistique et culturelle, transmission et innovation.
À travers un programme culturel riche, en résonnance avec le lieu, l’association se veut ancrée sur son territoire et accessible au plus grand nombre.